Enfant hyperactif Bordeaux – hypnose canaliser son énergie

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Enfant hyperactif Bordeaux – hypnose canaliser son énergie

Enfant hyperactif à Bordeaux (et ailleurs !) : voici une histoire hypnotique que j’utilise en consultation. A quel moment est-ce OK d’avoir la bougeotte ? A quel moment est-ce qu’il vaut mieux canaliser son énergie ? Et la canaliser dans quoi ? Quelle activité ?

Voici une histoire hypnotique pour :

aider votre enfant à trouver comment rediriger son énergie aux moments où c’est Ok de bouger !
s’accepter tel qu’il est avec cette puissante énergie volcanique, alors qu’on lui demande de ressembler à une montagne.

Enfant hyperactif – dur dur à l’école !

Quand on a la bougeotte, quand notre corps demande de se lever alors qu’on doit rester assis… Quand on a la jambe qui bouge sous la table et que ça fait du bruit, ou pire, que ça fait bouger le bureau… Quand on a fini son travail et qu’on a envie de papoter… Ho un oiseau passe par la fenêtre !

Que votre enfant soit diagnostiqué et présente un TDA/H (Trouble du Déficit de l’Attention avec Hyperactivité), qu’il soit kinesthésique (que son canal sensoriel principal soit les sensations corporelles, tactiles) qu’il soit naturellement câblé sur le mouvement et que ce soit simplement son tempérament, à l’école, c’est compliqué !

A l’école, il faut avouer que c’est bien pratique d’être calme, de pouvoir rester sur sa chaise, d’être visuel (être capable de retenir les informations qui se trouvent au tableau) ou auditif (retenir ce que dit le prof), et même, pouvoir s’ennuyer sans faire de bruit quand on a fini son travail.

Enfant hyperactif à la maison

Mouvements, sauts, impulsivité dans les gestes et parfois aussi dans le verbe, on peut dépenser beaucoup d’énergie à essayer de canaliser notre enfant hyperactif !

Enfant hyperactif – Canaliser son énergie sans le brider !

Un enfant hyperactif, ou juste naturellement câblé pour vivre dans le mouvement, a de nombreux super pouvoirs ! Et c’est tellement agréable de voir ce ninja de la vie aborder sans stress d’aussi nombreux challenges !

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Il suffit juste qu’il trouve comment canaliser son énergie là où c’est pertinent, tout en restant lui-même (ou elle-même !). Voici des idées à partager avec votre enfant et ses professeurs et une histoire hypnotique pour l’aider à trouver un autre chemin pour son énergie volcanique !

Enfant hyperactif : hypnose pour canaliser son énergie (jusque 11 / 12 ans)

Je vous propose de faire découvrir cette histoire à votre enfant en la lui faisant écouter ou en la mettant en fond sonore (avec son accord) pendant qu’il joue (mais pas pendant les temps d’écran). C’est une histoire que je raconte en consultation pour les parents d’un enfant hyperactif à Bordeaux.

Enfant hyperactif à l’école

Enfant qui a la bougeotte : distribuer en classe

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Souvent, les enfants hyperactifs, qui ont la bougeotte, sont aussi des enfants qui aiment aider et participer. Et ça tombe souvent très bien car il le font vite et avec beaucoup d’humour ! Si c’est le cas de votre enfant, il peut participer à distribuer dans la classe. Auquel cas, il peut en parler à ses professeurs où vous pouvez le faire. Si il est diagnostiqué, c’est d’autant plus facile ! Mais je suis sûre que vous trouverez ensemble les bons mots pour aborder le sujet.

Enfant qui a la bougeotte en classe : activer les mains

Passer par les mains aide souvent à se reconcentrer. Une balle antistress, des pierres tactiles, un popit (si les professeurs sont ok !). Vous trouverez des tas d’idées sur le site Hoptoys :

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Enfant hyperactif à l’école – besoin de bouger

L’idéal est bien entendu de rester debout ! A voir avec les professeurs si travailler debout peut être envisageable par période. Dans certaines écoles, c’est adapté, et merci à ces écoles de permettre aux enfants de travailler en changeant de posture !
Dans d’autres écoles, ce n’est pas possible. Toutefois, il est parfois possible de négocier que lorsque l’enfant a terminé son travail, qu’il puisse se lever et bouger dans le fond de la classe pour une autre activité qui lui permette d’être debout ou de marcher.

Dans l’école de mon fils, c’est adapté. Même si il ne peut pas travailler debout, à la fin de son travail il peut aller faire des activités dans le fond de la classe. Son comportement est vraiment plus calme depuis qu’il est dans cette classe, tout va bien !

Si ce n’est pas possible, il est peut-être envisageable de négocier l’utilisation d’un coussin dynair :

Enfant hyperactif à la maison : astuces

Enfant hyperactif à la maison : faire ses devoirs

Faire ses devoirs debout ou en marchant n’empêchera pas votre enfant de se concentrer ! Bien au contraire ! S’il est kinesthésique, il apprendra même plus vite !

Vous pouvez par exemple remplacer sa chaise de bureau par un ballon ou un poser un coussin dynair sur sa chaise.

TDAH : Aménager son coin bureau

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Hypnose enfant – Confiance en soi

Mon enfant crie tout le temps – astuces

19 janvier 202227 janvier 2022

Enfant opposant / comportement opposant : l’accompagnement

Enfant opposant / au comportement opposant : l’accompagnement

Vous êtes parent d’un enfant au comportement opposant, provocateur, voir tyrannique ? Reprendre le lead avec amour, oui, c’est possible !

IMPORTANT : je note dans le titre « enfant opposant » pour que cet article soit facilement visible sur la toile. Toutefois, je préfère parler de comportement opposant.

Découvrez le programme en avant-première

Enfant opposant / comportement opposant : ce qui alerte les professionnels

Depuis plusieurs années, des psychologues, des médecins, des équipes pédagogiques m’envoient des familles en difficultés (même en grande difficultés !) car :

le comportement de l’enfant à l’école n’est plus gérable pour les équipes pédagogiques (violence, refus de se conformer aux règles, perturbations des élèves, de la classe, provocation des adultes et insultes,…)
les relations avec leur enfant ses sont dégradées au sein du foyer au point que la violence et la menace se sont installées – l’enfant insulte, bouscule, fait peur à ses parents et c’est l’escalade à la maison
l’ensemble du foyer doit s’adapter aux exigences de l’enfant par peur de ses réactions
Un parent est en burn out ou en dépression et ne peut plus faire face au comportement menaçant et violent de l’enfant

Enfant opposant / comportement opposant : les accompagnements parent / enfant

Toutes ces années m’ont permis de me former et de construire des accompagnements spécifiques pour les différents cas de ces familles en difficultés.

Le programme Barkley

C’est une guidance parentale spécialisée dans l’accompagnement des parents d’enfant présentant un TDA/H (Trouble du Déficit d’Attention avec ou sans Hyperactivité).

La mise en place des limites éducatives

C’est un accompagnement pour les parents dont l’enfant à des comportements insolents, insultants, parfois agressifs envers ses parents ou la fratrie, associés à des comportements inappropriés avec ses paires à l’école et à l’extérieur : impulsivité et agressivité non contrôlées, ces enfants font parfois l’objet de rejet sévère voir d’agression ou de harcèlement à l’école.

En règle générale, ces enfants :

coupent la parole, crient, font beaucoup de bruit (à table, dans les lieux publics, …),
malmènent leurs parents : vols, insultes, mots blessants, violences, menaces, exigences d’achats, …
râlent et se plaignent de tout, imposent leur mauvaise humeur, ne respectent pas les règles et le rythme de la maison (menu, coucher, heures des repas, …)
Manquent de respect envers les autres (amis des parents, voisins, professeurs,…)

Découvrez le programme en avant-première

La résistance non violente

Parent enfant opposant - attention positive

C’est un accompagnement pour les familles dont la hiérarchie s’est inversée : l’enfant, au cœur de toutes les attentions à pris le contrôle du foyer. Chaque décision est pensée pour éviter toute frustration à l’enfant. Cette dynamique devient, au fil des années, un frein pour les parents qui se sacrifient pour leur enfant. Notons que le comportement inapproprié de l’enfant s’inscrit uniquement dans le cadre familial.

L’anxiété et le manque de confiance en soi chez l’enfant

Parent enfant opposant - ressources enfants

C’est un accompagnement pour les enfants afin des leur apporter une meilleure confiance en soi, la capacité à poser des limites et à les faire respecter avec humour !

Enfant opposant / comportement opposant : Les programmes croisés

Nous accompagnons les parents à reprendre le lead sur leur famille et nous accompagnons également les enfants vers plus de calme. Parfois, si les parents et l’enfant le souhaitent, en simultané.

Enfant opposant / comportement opposant : l’accompagnement en ligne

Notre accompagnement pour les parents d’enfant au comportement opposant, provocateur, ou tyrannique, est composé d’un ensemble de modules dont l’essence est tirée des techniques les plus efficaces de tous les accompagnements qui nous proposons en cabinet.

Il permet aux parents de reprendre le lead sur le foyer avec amour !

guidance parentale-la clarté des demandes

Prendre de la hauteur sur les événements et être capable d’éviter et de transformer les sources des conflits
Arrêter de se sacrifier et remettre du « je » dans le foyer
Etre Zzen ! Grace à différentes techniques de gestion du stress (hypnose, EFT, cohérence cardiaque, relaxations dynamiques, …)
Poser un cadre et définir les valeurs de famille, établir les limites éducatives
Exercer le super pouvoir de parent : l’attention positive pour renforcer les comportements attendus
Eteindre les comportements inappropriés grâce à des techniques tirées des TCC
Faire coopérer plus facilement votre enfant grâce au renforcement positif des comportements attendus
La mise en place d’un feedback efficace
Booster la confiance en soi, les habilités sociales, la concentration, la gestion des émotions, l’empathie, la capacité à gérer son impulsivité, de son enfant

Pour en savoir plus sur le programme, cliquez ici !

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17 janvier 202225 avril 2022

Mon enfant m’insulte, me bouscule, me menace.

Mon enfant m’insulte, me bouscule, me menace.

Quelle souffrance dans les yeux de ces parents qui arrivent en consultation : mon enfant m’insulte, me bouscule, me frappe, me menace.
Beaucoup des parents que j’accompagne se font malmener par leurs enfants. De plus, certaines mères ont même honte de ce qui se passe au sein de leur foyer et s’isolent.

« A la maison, c’est le troisième Reich ! »

Insultes : “connasse !” “de toute façon t’es qu’une abrutie”

Comportements menaçants envers le parent : comme lever le poing sur sa mère, la coincer dans un coin, bousculer, casser des objets, prendre un objet et menacer avec, …

Menaces d’auto-agressions : menaces de suicide, de défenestration…

Je sais que c’est un sujet très tabou…

Mon enfant m’insulte, me menace : que faire ?

Votre enfant vous insulte, vous menace, vous bouscule peut-être. Avec lui vous marchez sur des œufs pour éviter sa colère ou même, sa fureur. Si il vous menace de suicide, de fugue, de se mutiler, vous évitez de le frustrer car vous avez peur du pire…

« Si elle ne trouve pas la télécommande, elle prend mes affaires et les casse. Parfois elle les jette par la fenêtre et s’assoie sur la balustrade quand je descends les chercher. Elle me terrorise »

La première étape au changement

Une étape essentielle avant de pouvoir transformer les relations vers plus de calme et de respect, c’est de mettre de la conscience sur ce qui se passe.

Vos enfants, et les gens en général, ne vont que là où vous les autorisez à aller. Je sais que ce n’est pas facile à croire ! Pourtant c’est vrai.
Beaucoup de gens sont respectés car ils expriment que ce n’est pas pas ok. Ils savent dire non quand c’est non et avec une posture assertive, ils montrent facilement que ce non ne deviendra jamais un oui. C’est pourquoi, jamais personne ne s’aventurera à essayer d’obtenir un oui. Que ce soit par le chantage, la menace, la colère, etc… Avec eux, non sera toujours non.

Pourquoi c’est plus difficile pour vous ?

Pour certains, cette assertivité, cette posture, est facile. Soit parce qu’ils ont appris à s’affirmer, soit parce que leurs besoins et leurs limites ont été respectés étant enfant, soit parce qu’il ont pu s’exprimer et ont été entendu durant leur jeunesse, et pour bien d’autres raison.
Pour d’autres, peut-être pour vous, ce n’est pas simple. Pour bien des raisons ! Et vous n’êtes pas responsable de cela.

Peut-être ne vous a-t-on jamais appris à vous affirmer ? Peut-être avez-vous été éduqué à seulement obéir et à devoir laisser de côté vos propres besoins et limites ?

Vous pouvez apprendre à être confiant et assertif ! Vous pouvez transformer la situation.

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Mon enfant m’insulte, me bouscule : la toute première étape pour en sortir avec amour.

La première étape est l’observation de ce qui se passe et la documentation, c’est à dire prise de note détaillée de ce qui se passe. C’est une étape difficile, je le sais bien, j’y suis passée et les parents que j’accompagne ont fait ce chemin aussi. Et nous avons tous retrouvé le calme et l’amour à la maison !

Vous allez y arriver !

Mon enfant m’insulte : observer pour pouvoir prendre du recul

Prenez un papier et notez. Cela vous permettra de prendre du recul.

Notez :

ce qu’à fait ou dit votre enfant
ce qui s’est passé avant
votre réaction (votre posture, vos émotions, vos sensations corporelles)
les conséquences immédiates (ce que vous dites, faites, ce qu’il fait, ce que les personnes autour de vous font)
les conséquences différées – dans les heures qui suivent (ce que vous dites, faites, ce qu’il fait, ce que les personnes autour de vous font)

Exemple :

Mathéo 16 ans, souhaite un nouveau smartphone car ceux de ses amis sont plus récents et il en veut un neuf. Le refus de sa mère à renouveler son smartphone maintenant le met dans une colère noire. Il l’insulte, et lui jette son portable dessus. Il la rate, l’insulte de plus belle. Sa mère se met en colère et lui dit qu’il est privé de sortie, qu’il n’aura pas de téléphone. Mathéo ne sort pas de sa chambre pour le repas.

Le week end, il sort avec ses amis. Et se plaint de ne plus avoir de portable. Aussi, il dit à sa mère qu’elle ne pourra pas avoir de nouvelles d’où il se trouvera ni avec qui il sera, car il n’a plus de portable. Cela le fait rire. Il ajoute qu’il ne sait pas où il va aller avec ses potes, et s’en va. Il rentre le lendemain, sa mère est terrorisée. Elle a appelé plusieurs amis à lui et des parents sans succès.

Sa mère culpabilise car il n’a plus de portable. De plus, elle a peur car elle ne peut pas le joindre.

Ainsi, la semaine d’après, il reçoit un portable neuf.

Documentation – notes – ressentis

ce qu’à fait ou dit votre enfant : il m’a insulté (“abrutie” “tu sers à rien”…), il a jeté son téléphone sur moi, ….
ce qui s’est passé avant : il m’a demandé un nouveau téléphone. Je lui ai expliqué que je ne pouvais pas maintenant, mais qu’on pouvait mettre de l’argent de côté à plusieurs pour lui offrir à Noël.
votre réaction (votre posture, vos émotions, vos sensations corporelles) : je me suis recroquevillée, j’ai eu peur, j’ai eu une sensation de froid, ensuite la colère est montée, …
les conséquences immédiates (ce que vous dites, faites, ce qu’il fait, ce que les personnes autour de vous font) : je l’ai privé de sortie et je lui ai dit qu’il n’aurait pas de portable.
les conséquences différées – dans les heures qui suivent (ce que vous dites, faites, ce qu’il fait, ce que les personnes autour de vous font) : il est quand même sorti le week end et il n’est pas rentré. Il m’a dit que je ne pourrai pas avoir de nouvelles. Il n’est pas rentré ! J’ai eu très peur, j’ai appelé tous ceux que je pouvais pour savoir où il était. Je me suis dit qu’il a avait besoin d’un téléphone, et je me sens plus rassurée qu’il en ait un alors j’ai dû lui en acheter un à crédit.

Pourquoi c’est un exercice qui va transformer vos relations

C’est un exercice très difficile ! Toutefois, c’est à partir de ce travail que tout va pouvoir changer car vous allez ensuite pouvoir réfléchir, seul.e, avec votre compagne – compagnon de vie, ou votre thérapeute, à :

comment changer les situations, les éviter, etc…
comprendre vos émotions, vos mécanismes automatiques et vos croyances
trouver en vous de nouvelles ressources
sélectionner les outils à mettre en place pour vous, votre enfant, votre famille

Cette documentation est une base solide de transformation.

Vous allez y arriver !

Notre formation et accompagnement pour les parents

Nous avons créé une formation en ligne avec ou sans coaching, tirée de nos accompagnements en consultation et ateliers. Je vous invite à la découvrir en cliquant ci-dessous !

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17 décembre 202125 avril 2022

Mon enfant crie tout le temps !

Si votre enfant crie tout le temps, parle fort, coupe la parole… Bref, on n’entend que lui ! Et si ça vous stress, voici une astuce !

« On n’entend que lui !! »
Myriam

Mon enfant crie tout le temps : on n’entend que lui !

Tous les enfants sont différents et s’expriment différemment (évidemment allez-vous dire !). Et les cris s’arrêtent à un moment (évidemment encore !). Mais tant qu’on se trouve dans cette période, c’est stressant !

Et puis, il y a des enfants pour lesquels cette période ne s’arrête pas… On a beau leur expliquer, leur demander de parler doucement, faire des « chuuuuuttt » à 5h du matin pour qu’il ne réveille pas la maisonnée,… Sans parler des esclandres à la moindre frustration, comme si c’était son seul mode d’expression. Si en plus, à cela s’ajoute le fait qu’il râle. Quelle angoisse !

Mon enfant cri tout le temps : exemple

Mon fils par exemple, parlait fort, tout le temps. Dès le matin au réveil (6h, parfois avant), il n’avait pas encore dit bonjour qu’il épiloguait très fort sur ce qui l’intéressait. Il me parlait même derrière la porte des toilettes ! Puis il me suivait dans la cuisine. Ce qui avait l’art de me stresser de bon matin (le matin était donc moins bon que l’expression l’entend).
Il faisait beaucoup de bruit. Tout le temps. Entre les onomatopées, les rires bruyants, à table il prenait ses couverts avec lesquels il faisait des avions, et tenait à ce qu’on les regarde (et il faisait les bruits qui vont avec !).

Il criait beaucoup également. A l’école, la maîtresse se plaignait qu’on n’entendait que lui. Qu’il parlait trop fort, coupait la parole aux autres, parlait quand il travaillait, commentait tout ce qu’il faisait. Ce qui déconcentrait les camarades. Il ne fallait avoir d’yeux que pour lui.

Il ne faut avoir d’yeux que pour lui !

Voilà ! Vous avez tout compris ! Je peux arrêter l’article ici 😉
Ou alors je vous en parle un peu ? Allez, c’est bien parce que c’est vous ! Et parce que je sais combien c’est dur, je suis passée par là ainsi que beaucoup des familles que j’accompagne.

Quand un enfant a besoin d’attention, il va utiliser ce qui est à sa disposition pour l’obtenir. Certains viennent faire des câlins (ça c’est ma fille <3) et d’autres peuvent attirer l’attention en criant, hurlant, en parlant fort peut importe où il est et ce que vous faites, couper la parole, ou faire du bruit, sauter sur le canapé alors que c’est interdit, se mettre en danger,…

Bref ! Vous avez certainement compris où je veux en venir : notre enfant demande de l’attention. Mais pas de la bonne manière !

Enfin si… De la bonne manière pour lui, car ça fonctionne ! Vous lui accordez votre attention. Même si c’est pour lui expliquer pour la 50ième fois depuis 5 minutes qu’il faut parler doucement, qu’à 5h du mat, la petite sœur dort et qu’elle a besoin de sommeil, que dans les magasins les gens ont besoin d’être tranquilles ou que les camarades de classe ont besoin de se concentrer.

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Mon enfant crie tout le temps : astuces !

Réfléchir sur soi

La première étape, c’est déjà de vous demander si vous, parent, vous parlez fort également ! Si c’est le cas, parlez calmement. Votre enfant s’en rendra compte 😉 Et vous pourrez même échanger sur vos efforts. C’est vrai que quand on a tendance à parler fort, c’est difficile de baisser le volume. Je sais de quoi de parle ! C’est mon cas 😉

Montrer l’exemple

Vous pouvez montrer à votre enfant la façon que vous préférez. De façon positive et calme.

« MAMAN JE VEUX DE L’EAU !!!! »

Vous pouvez par exemple dire calmement « je préfère que tu me dises : maman, je veux de l’eau, comme cela ». Avec une intonation douce.

Ecouter votre enfant

Peut-être que si votre enfant crie, c’est qu’il ne se sent pas entendu. Alors, si c’est le cas, écoutez votre enfant en le regardant dans les yeux, en vous mettant à sa hauteur, en lui montrant des preuves d’attention comme hocher la tête.

Vous pouvez également utiliser l’écoute active en reprenant ce que votre enfant dit sous forme de question.

« Ce midi Milo m’a montré ses billes aimantées »
« Il t’a montré ses billes aimantées ? »
« Oui, il fait des formes avec ! »
« Ha bon ? «
« Il a fait un cube. mais il a perdu une bille. Alors on l’a cherchée dans toute la cour »
« Mince alors ! Qu’est ce qu’il s’est passé ensuite ? »
« C’est Maxence qui l’a retrouvée, … »

Aiguiser l’attention positive sur les moments de calme

Voici un principe simple : ce qui a une conséquence agréable est renforcé (et va donc perdurer). Ce qui est suivi d’une conséquence désagréable ou pas de conséquence s’éteint.

Donc, en suivant ce principe, si ce comportement de parler fort ou de crier perdure, c’est qu’il est suivi d’une conséquence agréable. Même si vous vous fâchez !

Quand votre enfant parle calmement, dites combien vous appréciez, remerciez-le, faites-lui un câlin, un bisou, …

Si vous prêtez attention aux moments de calme, les moments de calme vont se reproduire !

Retirer l’attention des cris

Toujours sur le principe du dessus, un comportement suivi d’aucune conséquence s’éteint :
ne répondez pas aux cris. En fonction de vous et de votre enfant, vous pouvez soit le regarder et sourire puis demander de parler calmement en chuchotant (et répéter sur le même ton jusqu’à ce qu’il arrive à parler doucement), vous pouvez n’accorder aucune attention et continuer ce que vous faites comme si de rien n’était, …

Chuchoter !

Chuchoter c’est vraiment une astuce qui fonctionne TROP bien ! Avec les neurones miroirs, il va finir par faire pareil. Vous pouvez le mettre dans les règles de la maison : le matin on joue au chuchoteur. Et vous ne vous parlez que comme cela !

Le cadre du silence

En tant que parent, pour être cohérent et donc rassurant pour votre enfant, mettre en place une règle sur le bruit (et donc le calme !) est important.
Par exemple : le matin on parle doucement jusqu’à ce que tout le monde soit levé. Ou, on parle calmement dans telle pièce et faire du bruit c’est ok dehors ou dans la chambre.

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A la maison, on parle calmement dans la salle à manger. le lieu où tout le monde vit, on se doit de respecter chaque personne de la famille. On a donc le droit de faire du bruit autant qu’on veut dans les chambres et dehors.

Et mention spéciale pour moi : le matin je suis longue à me réveiller ! De 6h à 7h, je vais dans mon atelier me ressourcer et démarrer la journée du bon pied. Mon fils est déjà réveillé, mais il sait qu’il faut me laisser tranquille jusqu’à 7h. Après, c’est parti pour le petit déj’ et les discussions (en parlant calmement !).

Quand la règle est clairement définie pour tous, c’est plus facile de prendre la posture de Super Woman : dos droit, épaules en arrière, et silence en regardant votre enfant. Il va se parler à lui même et comprendre tout seul.

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13 décembre 202125 avril 2022

Autorité parentale : Margaux reprend le lead en 1 mois

Autorité parentale : Margaux reprend le lead en 1 mois

J’espère que vous allez bien, que vous prenez soin de vous ! Aujourd’hui, je souhaite vous raconter, avec l’accord de la famille, comment Margaux, a retrouvé son autorité parentale en 1 mois, juste avec la première étape de son accompagnement.

Je sais que si vous êtes là, c’est que vous prenez vos relations familiales au sérieux et que vous avez hâte de passer au niveau supérieur. Je suis comme vous : j’aime quand ça va vite et que c’est efficace.

Tous mes accompagnements sont propulsés par des outils de thérapie brève. Pour faire sauter les blocages, se libérer d’émotions qui coincent et se débarrasser de traumatismes anciens devenus limitants.
Mes outils : hypnose, EFT (Emotional Freedom Tecniques), thérapie par le mouvement oculaire et thérapie par le mouvement corporel.

Je forme les parents que j’accompagne à ces techniques afin qu’ils soient très vite autonomes pour repousser leurs limites. Et cela, sans avoir besoin de moi !

Margaux retrouve son autorité parentale en 1 mois !

Margaux est maman de deux enfants : Clara 6 ans et Dimitri 2 ans et demi.
Depuis la naissance de Dimitri, rien ne va plus ! Margaux est fatiguée, Dimitri ne fait pas ses nuits. La famille est épuisée, sur les nerfs et il est difficile pour les parents de rester calmes face aux comportements de Clara. Margaux est au bord du burn out.

Le comportement de Clara

A l’école

Clara a des difficultés de socialisation : elle évoque que ses camarades de classe la malmènent, l’obligeant à jouer à des jeux qui ne lui plaisent pas, à courir, etc… Ils la bousculent, arrachent son travail. Le personnel de l’école décrit Clara comme étant vindicative et autoritaire avec les autres, moqueuse. Ce qui attirerait le rejet des autres. Elle a une relation exclusive avec Charlotte. Dans cette relation, elle est décrite comme très autoritaire, très débordante, très agitée, très bavarde. De surcroît, elle peut avoir des gestes qualifiés d’agressifs et des propos qualifiés de méprisants (tu es bête, je suis plus forte que toi). Les parents de son amie ont rapporté à Margaux des coups, des crachats que Clara aurait adressés à Charlotte.

Avec les adultes

Avec les adultes, Clara cherche l’attention à tout prix, coupe la parole, parle fort (elle a la voix éraillée). C’est pourquoi elle se met vite en colère si l’attention n’est pas portée sur elle. Par ailleurs, elle est décrite comme pouvant être agressive et blessante envers les adultes. De plus, elle n’a aucune retenue et peut facilement aller se servir dans les placards chez les amis, faire de l’escalade avec les rideaux, etc…

A la maison

A la maison, elle refuse de coopérer :

Elle fait trainer toute demande
Les repas sont négociés à la condition que sa mère la fasse manger
Son agitation permanente devient un stress pour la famille
« Elle ne s’arrête jamais ! »
Son comportement est décrit comme insolent et parfois agressif avec des passages à l’acte d’agression contre son petit frère et sa mère
Elle répond à ses parents

« Je n’ai aucune autorité. Je n’en peux plus… »
Margaux

Par ailleurs, Clara présente des peurs qui la font entrer dans les états d’angoisses et de tristesse pendant plusieurs jours d’affilés. Ces derniers bloquant des actions telles que se rendre aux toilettes.

Téléchargez votre ebook gratuit !

Autorité parentale : la première étape de l’accompagnement a tout changé !

La toute première étape de l’accompagnement est l’observation.

Dans cette étape, je donne aux familles tous les outils nécessaires pour noter les comportements inappropriés, les déclencheurs, les conséquences (tant les privilèges que les conséquences désagréables), les réactions, etc… De cette façon, les parents arrivent facilement à prendre de la hauteur pour apporter des changements dans le quotidien.
Margaux s’est approprié son workbook et a tout noté. Les déclencheurs sont apparus ainsi que ce qui faisait perdurer les comportements inappropriés de Clara.

Grace à cela, nous avons pu mettre en place une feuille de route simple. Ainsi, Margaux a pu se repositionner naturellement comme parent. De plus, elle a modifié des conséquences, éteint des déclencheurs et a aiguisé son attention vers les comportements attendus de Clara.

Un mois après, Clara est positive, souriante et plus calme

Un mois après la mise en place de la feuille de route, je retrouve Clara transformée :

le teint plus coloré, elle est très souriante
plus posée
sereine dans son élocution
la position assise est facile
elle demande à aller à la table pour dessiner.

Clara me raconte que la maitresse est contente. De plus, elle a envie d’avoir de nouvelles copines ! Elle réalise un dessin avec beaucoup de concentration, son trait est plus harmonieux et le dessin est très aéré.

Margaux m’explique que son institutrice trouve Clara changée. Beaucoup plus calme et concentrée, plus dans le partage avec les autres. Elle est plus attentive et n’est plus agitée. Ainsi, son potentiel de petite fille dynamique prend sa place : elle est volontaire pour distribuer des papiers, ranger la classe, participer.

A la maison, Clara est plus calme, se met moins facilement en colère. Elle coopère d’avantage est a pris la responsabilité des couverts. C’est un rôle qu’elle prend très au sérieux. C’est ainsi qu’elle s’occupe quotidiennement de mettre les couverts et de les débarrasser quand le repas est fini. De plus, elle ne témoigne plus de ressentiments vers Dimitri avec qui elle joue. Le matin, elle se lève et prend son petit déjeuner qu’elle débarrasse toute seule.

Y’a d’la joie ! calme et autorité parentale retrouvée !

Margaux a retrouvé le sourire et l’allant d’être parent qu’elle avait perdu. En plus, elle exprime également le sentiment d’avoir enfin de l’autorité parentale. Elle sait :

prendre du recul sur les situations
anticiper et poser les bonnes conséquences
conduire ses enfants vers les comportements attendus et la coopération
libérer ses blocages
rester zen.

De plus, elle dispose d’une trousse à outils en ligne avec des ressources pour Clara :

histoires hypnotiques
mini coaching confiance en soi
activités ludiques pour apprendre à :
- se faire des amis
- s’organiser
- se concentrer
- retrouver le calme
- booster sa répartie
- avoir de l’humour
- et bien d’autres !

Elle prend même du temps pour elle !

Autorité parentale : mais c’est quoi cette feuille de route ?!

C’est la version « consultation » de la nouvelle formation « parent affirmé et confiant ». C’est une guidance parentale spécialisée pour les parents d’enfant au comportement opposant, provocateur, tyrannique.
J’ai transformé cette feuille de route afin que les parents de toute la France (et au delà !) puisse suivre un accompagnement spécialisé. Et enfin retrouver l’enthousiasme d’être parent !

Je sais, car c’est ma spécialité (aussi pour l’avoir vécu), quel stress vous pouvez vivre au quotidien. J’ai testé et appliqué des méthodes et des outils. C’est pourquoi, je vous partage ceux qui fonctionnent le mieux et le plus rapidement.

Pour en savoir plus sur la formation

Vous souhaitez en savoir plus sur la formation « parent affirmé et confiant » ? Cette guidance est spécialisée dans l’accompagnement des parents d’enfant au comportement opposant, provocateur ou tyrannique, c’est juste en dessous !

Parent affirmé et confiant !

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Vous retrouverez dans cet article sur la différence en conséquence et punition, les 4 valeurs essentielles pour une éducation non violente.

[Education] La différence entre conséquence et punition

L’équidignité (tous les individus ont la même valeur), l’intégrité (en parlant de nos propres limites), l’authenticité (en étant sincère), la responsabilité (être adulte c’est être responsable de la relation que nous avons avec nos enfants).

La différence entre punition et conséquence s’avère assez grande. Les conséquences de notre comportement ont beau être désagréables, elles ne nous font pas douter de notre valeur en tant qu’être humain. Les punitions, si.
Jesper Juul

L’abus de pouvoir ne constitue pas une alternative à l’impuissance. Les parents devraient plutôt manifester leur personnalité et se définir plus clairement en tant qu’être humains.
Jepser Juul

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